Le président Raïssi, dans son cinquième discours télévisé en direct au peuple lundi soir, a déclaré que le premier et le plus important problème du gouvernement lors de son entrée en fonction était le chagrin quotidien de plus de 700 familles en raison de l'épidémie de coronavirus.
La vaccination et la protection de la vie des gens, dans lesquelles, grâce à Dieu, nous avons réussi grâce aux efforts du gouvernement et à la coopération du peuple dans ce domaine, et aujourd'hui le nombre de décès quotidiens dus au corona est passé de 700 à 7 personnes, se félicite le président Raïssi.
Se référant à la réouverture des entreprises et des centres scientifiques et éducatifs après une vaccination publique réussie et efficace, le président a ajouté que «Aujourd'hui, en plus de fournir des vaccins à partir d'importations, nous avons également une très grande capacité à produire des vaccins dans le pays et même à les exporter».
Raïssi a déclaré qu'une autre préoccupation des premiers jours du 13e gouvernement était la préoccupation concernant les stocks de marchandises et a déclaré: «Grâce aux efforts du gouvernement, les inquiétudes concernant les stocks de produits de base ont été éliminées en peu de temps».
Aujourd'hui, le montant des ventes de pétrole dans le pays a doublé depuis le début du gouvernement, et nous n'avons plus à nous en soucier, a ajouté le président.
D'autre part, le volume du commerce extérieur du pays, en particulier avec les pays voisins, a augmenté et le commerce extérieur total du pays a atteint 100 milliards de dollars, ce qui, à cet égard, la situation est complètement différente d'avant, a-t-il déclaré
Le président a décrit le déficit budgétaire de 450 billions de tomans en l'an 1400 comme un autre défi dans les premiers mois du 13e gouvernement, ajoutant : «Avec les efforts de nos collègues du gouvernement, sans emprunter à la banque centrale ni créer de monnaie, nous avons pu gagner de nouveaux revenus en résolvant de nouveaux problèmes».
Il a poursuivi en disant que de nombreux experts étaient préoccupés par la hausse de l'inflation en 1400 (l’année civile précédente), «De nombreux économistes pensaient que la tendance croissante de l'inflation en l'an 1400 passerait de 40 % à 60 %, mais Dieu merci, avec les mesures prises pour endiguer les problèmes, l'inflation est tombée à 36 % à la fin de l'année dernière».
Raïssi a présenté un autre défi sérieux aux progrès du gouvernement en tant que problème de l'allocation injuste des subventions pour les produits de base par la distribution de devises, et a déclaré que dès les premiers jours du gouvernement, presque tous les économistes et experts nous avaient avertis qu'il fallait réfléchir à une solution aux graves problèmes du pays.
Le gouvernement se considère comme le serviteur du peuple. Cela doit être fait comme une nécessité pour la réforme économique et, bien sûr, il ne faut pas fuir une décision difficile et en être terrifié. Dieu merci, cette question est considérée par le gouvernement, le parlement et le pouvoir judiciaire comme une réforme économique, a conclu le président Raïssi.
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