Selon le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères, Nasser Kanani, le soutien politique, économique, militaire, financier, juridique et international au régime sioniste, qui a une identité illégale, et qui est terroriste et accusé de crimes de guerre et de génocide, et qui viole les droits de l'homme et le droit humanitaire international, est un exemple de la violation la plus flagrante et la plus importante des droits de l'homme, et constitue un comportement non démocratique et dictatorial dans les relations internationales.
Les tyrans de l'environnement international ne peuvent pas se considérer comme un modèle de démocratie, de respect des droits de l'homme et de souci de la paix et de la sécurité internationales et donner des leçons aux autres, a noté Kanaani.
Alors que l'opinion publique internationale est scandalisée par les crimes sans précédent des sionistes à Gaza et souhaite prendre des mesures préventives pour empêcher la poursuite de ces crimes et du génocide, les mêmes prétendants habituels et détenteurs de fausses normes en faveur de la paix et de la sécurité mondiales, des droits de l'homme, des lois et résolutions internationales ont empêché toute décision juridique et exécutive à l'encontre de ce régime dans la référence de sécurité la plus importante au monde, a ajouté le porte-parole de la diplomatie iranienne.