Dans son discours prononcé lundi lors de la session matinale du Conseil international des droits de l'homme (IHRC) sur l'Iran, Mme Karim Dost a ajouté, en réponse au rapport présumé du rapporteur spécial sur l'Iran, Javaid Rahman, que «Nous remercions tous ceux qui s’opposent à la politisation du Conseil. Les principaux partisans doivent cesser d’instrumentaliser le Conseil à des fins politiques ; Malgré cela, nous sommes toujours déterminés à soutenir la cause des droits de l’homme ; Rien ne nous empêchera de renforcer nos institutions et d’améliorer l’infrastructure juridique, judiciaire et administrative pour promouvoir et protéger les droits de l’homme».
L'Iran poursuivra son interaction précieuse avec les mécanismes des droits de l'homme, notamment l'examen périodique universel, les procédures spéciales, les organes de traités et le Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme ; à titre d'exemple récent, la République islamique a présenté son rapport au Comité des droits de l'homme au titre du Pacte international relatif aux droits civils et politiques en novembre dernier, en présence d'une délégation iranienne de haut niveau, qui a participé à un dialogue interactif de deux jours avec les membres du comité concerné. Nous sommes absolument engagés à écouter et à entretenir des interactions, a assuré l’envoyée iranienne.
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