Ces derniers jours, les responsables de la Maison Blanche, au lieu d'avouer l'échec de leur politique de réduction à zéro des exportations pétrolières de l'Iran, ont prêté attention au montant des dommages infligés à l'Iran dans ce domaine. Récemment, le département d'État américain a affirmé dans un rapport que les États-Unis, durant la présidence de Trump, ont fait perdre à l'Iran un montant de 70 milliards de dollars au niveau des revenus pétroliers.
L'incapacité de l'administration Trump à remplir ce rêve anti-iranien a conduit au limogeage de nombreuses personnalités clés du département d'État, dont Brian Hook, chef du groupe Iran Action; Une personne nommée pour resserrer la boucle des sanctions et réduire à zéro les exportations de pétrole de l'Iran.
Le rapport de la diplomatie américaine montre bien le manque d'analyse et l'erreur de calcul chez l'administration Trump. Car, en réalité, l'embargo sur le pétrole iranien a présenté différentes opportunités pour Téhéran en diminuant la dépendance de l'économie iranienne aux revenus pétroliers. En outre, en publiant ce rapport, les autorités américaines ont validé le rôle des États-Unis dans les menaces adressées à la vie des citoyens iranien au cours de la propagation de la pandémie du coronavirus. Ce comportement inhumain de l'administration Trump pendant la crise sanitaire du Covid-19 a été qualifié de "terrorisme économique" par les responsables de la République islamique.
En septembre 2020, le président Rohani a souligné que les Américains, avec leurs sanctions illégales, malavisées et anti-humanitaires ainsi que qu'avec leurs opérations terroristes ont endommagé l'Iran d'au moins 150 milliards de dollars entre 2018 et 2020.
Les États-Unis de Trump ont mené du terrorisme économique contre l'Iran sous la bannière de sanctions. Bien que le président américain fasse ostensiblement une exception pour l'exportation d'articles humanitaires et médicaux, en fait, en raison des sanctions des transactions bancaires, l'importation des produits médicaux par l'Iran était impossible.