Téhéran (IRNA)- Le secrétaire du Comité iranien des droits de l'homme, Kazem Gharibabadi, a souligné que la République islamique s'oppose à l'utilisation des droits de l'homme (en tant qu'outil contre les autres et en transmettant des agendas politiques à certains pays).

Lors de la rencontre entre Gharibabadi et la Ministre de la justice de la Namibie, MME YVONNE DAUSAB, , aujourd'hui, jeudi ; en marge de la quarante-neuvième conférence du Conseil international des droits de l'homme, qui se tient dans la capitale suisse, Genève, depuis lundi dernier, Gharibabadi a noté les progrès réalisés en République islamique d'Iran en matière de droits de l'homme.

Il a également mis en garde contre les répercussions négatives des mesures coercitives unilatérales et du terrorisme sur les progrès de la mise en œuvre des droits de l'homme.

Il a également dénoncé les tentatives trompeuses de l'Occident sous la pression de «défendre les droits du peuple iranien» tout en poursuivant son interdiction unilatérale et sa violation flagrante des droits de ce peuple fier.

En outre, Mme Dausab a souligné les positions de principe de la Namibie en rejetant les mesures coercitives et l'embargo unilatéral contre les pays en développement ; y compris l'Iran.

La ministre de la Justice de la République de Namibie a estimé que ce comportement constitue une violation des droits de l'homme et affecte négativement le progrès de l'exercice des droits de l'homme par les peuples.

Lors de sa rencontre avec le secrétaire du Comité iranien des droits de l'homme, Mme Dausab a affirmé le refus de son pays d'utiliser les droits de l'homme comme un outil politique et d'adopter une double politique à cet égard.

La ministre namibienne a déclaré que le Conseil international des droits de l'homme devait s'en tenir à l'aspect professionnel du traitement des problèmes des droits de l'homme, en toute impartialité et loin de toute politisation.