Selon un rapport de l’IRNA publié lundi 14 mars par le QG des Droits de l'homme de la RII, ce dernier exprimant son « profond regret » face au silence et à l'inaction complice des pays et des organisations internationales qui se posent en défenseurs des droits de l’homme, en réponse à de telles actions a déclaré : « Nous voyons dans ce silence un signe d’hypocrisie en faveur d’une exploitation à des fins politiques du concept des droits de l'homme pour assurer leurs cupidités politiques et contre les gouvernements indépendants », déplore le texte.
Le Quartier général des Droits de l'homme appelant à une enquête sur les différentes dimensions du crime évoque également la guerre meurtrière oubliée du Yémen et dit : « Plus de sept ans se sont écoulés depuis le début de l'intervention de la coalition d’agression menée par l'Arabie saoudite au Yémen et les bilans des victimes directes et indirectes s’estiment à plus de 370 000 civils.
« La destruction massive d'infrastructures et des centres de communications, d'installations médicales et sanitaires par la coalition saoudienne a transformé le Yémen en un laboratoire pour tester les revendications très médiatisées des prétendus défenseurs des droits de l’homme.
Le silence et l’inaction complice des faux prétendants aux droits de l'homme et les actions parfois inefficaces visant uniquement à sauver les apparences ont transformé le Yémen en un abattoir des êtres humains et de l'humanité », regrette encore la déclaration.
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