Selon le site Internet du ministère des Affaires étrangères de Chine, Zhao Lijian, le porte-parole de la diplomatie chinoise, a annoncé lors de sa dernière conférence de presse que Pékin suit de près la récente réponse de l'Iran concernant le projet d'un éventuel accord, et il semble que cette réponse soit conforme aux positions spécifiques de l'Iran concernant les questions liées au processus de négociation.
Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a exprimé l'espoir que toutes les parties, en particulier les États-Unis, aboutiront à un accord dans un avenir proche en apportant une réponse efficace aux préoccupations légitimes de l'Iran.
Ce responsable du ministère chinois des Affaires étrangères a souligné que Pékin poursuivra ses efforts positifs jusqu'à ce que l'accord soit conclu.
L'actuel cycle de négociations a eu lieu après que le chef de la politique étrangère de l'Union européenne a affirmé dans le journal Financial Times qu'il avait mis sur la table un nouveau paquet de propositions, qui comprend des solutions actualisées concernant la levée des sanctions et Les mesures nucléaires de l'Iran.
Le 16 août, la République islamique d'Iran a envoyé ses commentaires concernant les propositions de l'Union européenne pour les négociations sur la levée des sanctions à Vienne, et après plus d'une semaine, les États-Unis ont envoyé leur avis le 24 août à l'Union européenne.
Après la fin de ce cycle de négociations, les responsables américains et européens ont affirmé que le texte final avait été présenté à toutes les parties, qu'il ne pouvait être modifié et devait être accepté ou les négociations seront un échec. Mais cette affirmation a été rejetée par le ministère iranien des Affaires étrangères qui a annoncé qu'en raison de la poursuite des discussions sur plusieurs questions importantes, nous ne sommes pas encore à un stade où nous pouvons parler de la finalisation du texte de l'accord à Vienne.
Les pourparlers ont atteint les étapes finales, alors que la finalisation d’un accord dépend des décisions politiques de l'Occident, en particulier des États-Unis d'Amérique en tant que partie violant l'accord de 2015.
La délégation de la République islamique d'Iran souligne qu'il est nécessaire de parvenir à un accord, mais la stabilité de la levée des sanctions doit être garantie d'une certaine manière et aucune question secondaire ne reste comme un levier de pression à utiliser contre l'Iran dans le l'avenir.
Selon la diplomatie iranienne, la République islamique recherche un accord dans lequel le bénéfice économique du peuple iranien soit assuré ; les sanctions sur le commerce extérieur de l'Iran soient supprimées et les restrictions illégales sur les ventes de pétrole doivent soient supprimées. De ce point de vue, si la partie occidentale accepte les demandes logiques de l'Iran et les exigences légitimes de la formation d'un accord stable et fiable, l'accord final sera atteint.