Les agriculteurs français avaient déjà lancé les mobilisations de protestation contre les accords signés dans le cadre de l’Union européenne qui affaiblissent la production nationale dans les pays producteurs comme la France, le premier exportateur des produits agricoles en Europe de l’Ouest. La menace des poulets ukrainiens menace déjà le marché français. Maintenant, Macron passe en Amérique du Sud pour trouver plutôt des clients pour des grandes industries françaises et les multinationales. Mais à quel prix ? Le traité Mercosur est nommé l’accord de viande pour la voiture.
Le président Macron, suivant ses idées de néolibéralisme, défend des grands géants industriels internationaux, mais étouffe les PME et les producteurs et les agriculteurs de campagnes en France.
L’économie en France rurale est basée sur les fermes familiales et les agriculteurs de campagne qui ne peuvent pas rivaliser avec les géants internationaux.
Déjà, ils sont affaiblis par les accords de libre-échange imposés par l’UE. Un Mercosur avec les pays de l’Amérique du Sud est un coup de grâce à l’industrie agriculture de la France. Et il ne s’agit pas seulement de la viande. Les producteurs du maïs, du soja et du sucre seront les premiers perdants de ce traité que Macron veut imposer contre l’industrie de l’agriculture en France.
Les conseillers de l’Elysée doivent se préparer pour des scènes de colère contre Macron au salon Agriculture 2025.
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