8 nov. 2019, 16:01
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L'IRNA, élue future présidente de l'Assemblée de l'OANA

8 nov. 2019, 16:01
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L'IRNA, élue future présidente de l'Assemblée de l'OANA

Téhéran (IRNA)- Les membres de l'Organisation des agences de presse de l'Asie-Pacifique (OANA), réunis vendredi à Séoul, ont voté en faveur de la nomination de l'agence de presse officielle de la République islamique d'Iran à la tête de la 18e Assemblée générale de l'OANA.

 Ayant pour thème «Nouveaux défis pour le journalisme: innovations technologiques et questions de confiance»,  la 17e Assemblée générale de l'Organisation des agences de presse de l'Asie-Pacifique (OANA) a lieu du 6 au 9 novembre à l’hôtel Lotte Seoul, en République de Corée.

L’événement attire la participation de 32 agences de presse venues de 28 pays et territoires telles qu'IRNA (Iran), Yonhap (République de Corée), Kyodo (Japon), TASS (Russie), Xinhua (Chine), Antara (Indonésie).

Le directeur général de l’Agence officielle de presse iranienne, Seyyed Zia Hachemi, à la tête d’une délégation a assisté à cet événement.

A cette occasion, M. Hachemi a présenté et évoqué les efforts déployés par l'IRNA, en tant que membre de longue date de l'OANA, en vue d'aider à la réalisation des objectifs de l'organisation. Selon lui, le progrès actuel des médias nécessite des initiatives novatrices dans le domaine de la coopération collective.

Lors de la séance de travail ce vendredi 8 novembre, les membres de l’OANA ont élu l’agence de presse IRNA pour prendre la présidence de la 18e Assemblée générale de l'OANA à partir de 2022 pour un mandat de trois ans.

En marge de la cérémonie d’ouverture, le mercredi, le Directeur général de l’IRNA, Seyyed Zia Hachemi, a également rencontré le président sud-coréen, Moon Jae-in, ainsi que plusieurs homologues étrangers et a discuté avec eux.

Lors de la rencontre avec Moon Jae-in, M. Hachemi  a noté le renforcement des relations entre les deux pays. «Les perspectives économiques, politiques et culturelles ont été florissantes, mais après l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis, les liens entre l’Iran et la Corée ont également été touchés», a-t-il dit.

Hachemi a souligné qu'étant donné que la Corée du Sud est un pays indépendant et puissant, on peut s'attendre à ce que Téhéran et Séoul puissent progresser dans le développement de leurs relations.

Le Président sud-coréen, Moon Jae-in, a pour sa part déclaré, que Séoul s'employait à rétablir les relations entre Téhéran et Séoul, étant à leur apogée avant les sanctions imposées américaines et l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, et restait optimiste quant aux perspectives des relations Iran-Corée du Sud.

Suivez l'IRNA sur Twitter @Irnafrench 
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