"Nous sommes prêts à faciliter la coopération pour réduire les effets négatifs des tempêtes de sable et de poussière via des démarches aux niveaux régional et transrégional", a fait savoir la directrice du Centre de développement de l'information sur la gestion des catastrophes en Asie-Pacifique (EDPIM) dans une interview exclusive avec IRNA samedi.
Se référant à l'impact des tempêtes de sable et de poussière sur le secteur agricole, énergie, l'environnement, l'aviation et son impact très destructeur sur la santé humaine, elle a annoncé: " Les résultats montrent que plus de 6 millions de personnes dans différentes villes de Chine, de la République islamique d'Iran, du Pakistan et de l'Ouzbékistan ont respiré dans pollution de l'air causée par des tempêtes de poussière depuis au moins 10 mois en 2019.
En réponse à la question, dans quelle mesure l'ONU considère-t-elle les actions de la République islamique d'Iran efficaces à cet égard et quelles ont été les recommandations de l'ONU à l'Iran ? elle a noté que La République islamique d'Iran est un pays leader dans la connaissance et l'analyse du phénomène des tempêtes de sable et de poussière et a mené certaines des recherches les plus importantes dans ce domaine.
"La République islamique d'Iran a une histoire de leadership au sein de la communauté internationale dans la gestion des tempêtes de sable et de poussière en tant que catastrophe transfrontalière." a-t-elle ajouté.
Le Centre de développement de l'information sur les catastrophes en Asie-Pacifique (EPDIM), l'un des bureaux régionaux de la Commission économique et sociale des Nations Unies pour l'Asie-Pacifique (SCOP) a été ouvert en 2018 à Téhéran avec pour mission de réduire les pertes humaines et matérielles dues aux catastrophes naturelles et de participer à la conception, l'investissement et la mise en œuvre de politiques de réduction des risques de catastrophe et de resilience.
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