La DCA iranienne protège et sécurise le ciel du pays 24 heures sur 24

Téhéran- IRNA- Le commandant de la défense aérienne de la Force aérospatiale du Corps des gardiens de la Révolution islamique d’Iran (CGRI) déclarant que le ciel du pays est sous la protection et la surveillance à tout moment a indiqué : « La DCA d’Iran protège le ciel du pays 24 heures sur 24 ».

Selon l'IRNA, le général de brigade Reza Shaban, commandant de la DCA (Défense contre l'aviation, l'ensemble des moyens militaires en vue d'assurer la protection contre les attaques aériennes ennemies), de la Force aérospatiale du CGRI, s’exprimant en marge des exercices baptisés « Le Ciel du Vilayat 1401 » a déclaré : « Dieu merci, dans ces exercices, basés sur tous les objectifs qui ont été déterminés à l'avance, dans divers secteurs à savoir : la détection, l'identification, le suivi et la lutte contre les objectifs le succès nécessaire a été atteint jusqu'à ce moment.

Le commandant de la défense aérienne de la Force aérospatiale du CGRI a ajouté : « Les exercices visent à pratiquer les techniques et tactiques indigènes et créatives des forces militaires et à évaluer leurs forces et leurs faiblesses. Nous avons vu qu'elles ont bien rempli leur mission ».

Le général Sha$aban soulignant que le ciel du pays est surveillé et sous protection instant en instant a précisé : « La défense aérienne sécurise et protège le ciel du pays 24 heures sur 24 et d'instant en instant.

Il a ajouté : L'une des différences entre les exercices de cette année et ceux des années précédentes est la taille énorme des zones opérationnelles, de telle sorte que la phase finale des manœuvres couvre environ les deux tiers du ciel de notre cher pays, c'est-à-dire , il se tiendra dans une zone de plus d'un million de kilomètres carrés.

Le commandant de la DCA de la Force aérospatiale du CGRI a ajouté que trois missions sont couvertes dans le centre de commandement et de contrôle : dans le centre de commandement et de contrôle, la première étape de la tâche consiste à contrôler la surveillance et le contrôle des cibles par les systèmes de défense, et en cas d'observation d'objets volants et une cible est immédiatement transférée au deuxième étage du centre de commandement et de contrôle, qui est responsable de la gestion principale de la scène, et à travers cela, l'information est signalée au réseau intégré de défense aérienne afin qu'ils puissent être mis à jour.

Le général Shaban a poursuivi : « La deuxième partie est liée à l'identification des cibles et à la communication avec le réseau intégré de la DCA, car l'une des questions fondamentales avant tout conflit est l'identification des cibles pour distinguer l'ami de l'ennemi, et cette partie est très importante ».

« Après la première étape, qui est l'identification, nous entrons dans la deuxième étape, qui est celle du conflit et de la destruction. Dans cette étape, après avoir identifié les cibles et distingué l'ami de l'ennemi, différents systèmes et méthodes seraient utilisés au rythme et en fonction des niveaux de conflit et de la hauteur des cibles. »

Le commandant de la défense aérienne de la Force aérospatiale du CGRI a renchéri : « Pparfois, des systèmes de missiles sont utilisés dans différentes brigades et classes, et parfois des lance-missile à l'épaule et d'autres systèmes sont utilisés par le réseau intégré de défense aérienne ».

« On a utilisé des systèmes de défense et des radars indigènes dans ces exercices de la Force aérospatiale du CGRI, comme « Le 3 Khordad » avec l’intervention de jeunes forces.

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