Immédiatement, les médias occidentaux, sans sources, ont publié de fausses informations et ont déclaré que des employés du métro avaient battu la jeune fille pour avoir violé la loi sur le hijab et qu'à cause de cela, elle avait perdu connaissance.
À cet égard, le métro de Téhéran a diffusé des images de vidéosurveillance. Les images ne montrent aucun signe de conflit ou d’événements inhabituels.
Cependant, en répétant le scénario de la tromperie et en diffusant de fausses informations sur le passage à tabac d’Armita Geravand, les médias et les hommes politiques occidentaux cherchent à créer une crise et à répéter le scénario de l’année dernière, semblable à l’histoire de Mehsa Amini.
L'envoyé spécial adjoint des États-Unis pour l'Iran, Abram Paley, poursuivant les affirmations et réitérant les gestes en matière de droits de l'homme du gouvernement de Joe Biden, a déclaré que Washington était préoccupé par la situation d'Armita Gravande, une jeune Iranienne de 16 ans.
«Choqués et préoccupés par les informations selon lesquelles la soi-disant police des mœurs iranienne aurait attaqué Armita Gheravand, 16 ans. Nous suivons l'actualité de son état. Nous continuons à être aux côtés du courageux peuple iranien et à travailler avec le monde pour tenir le régime responsable de ses abus», a-t-il écrit dans son X.
Les parents d'Armita, dans une interview avec l’IRNA, ont demandé aux commères de prier pour leur fille et de ne pas créer le chaos.
Concernant les détails de l'accident de son enfant, sa mère a ajouté : «Ma fille et ses amis étaient dans le métro pour se rendre à l'école et après être entrée dans la station, sa tension artérielle a chuté, elle a perdu l'équilibre et s'est cognée la tête».
Le père d'Armita a également déclaré qu'avec sa femme, «nous avons vérifié toutes les vidéos dans le métro et elles nous ont prouvé que cet incident était un accident».
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