Réagissant aux commentaires illégaux faits par le chef de la surveillance nucléaire de l'ONU Rafael Grossi, Ghadibabadi, mettant l'accent sur la tendance totalitaire de l'Agence, a déclaré dans une interview télévisée qu'en raison de sa bonne volonté, l'Iran préservait et protégeait les données enregistrées pendant encore un mois, même après la fin de la période de trois mois convenue dans un accord avec l'AIEA.
Il a en outre souligné que l'accord de l'Iran avec l'AIEA est un accord politique et simplement basé sur des traités internationaux.
Se concentrant sur l'accord technique de l'Iran avec l'agence et sur l'abstention de l'Iran de répondre à la nouvelle demande de renouvellement de l'accord de l'AIEA pour la troisième fois, le représentant de l'Iran auprès de l'AIEA a déclaré que l'Agence n'a pas et n'aura pas la responsabilité de présenter un rapport sur l'accord expiré et l'enregistrement des données.
Il a ajouté que l'Iran n'avait aucun engagement au-delà du Plan d'action global commun (JCPOA). L'enregistrement des données un mois après la résiliation de l'accord de trois mois était simplement dû à la bonne volonté de l'Iran, et non à l'engagement de l'Iran envers l'AIEA, a-t-il souligné.
Ce sont les Etats-Unis qui doivent retourner au JCPOA, pas l'Iran ; ces commentaires contiennent des messages politiques, et nous avons annoncé à plusieurs reprises que tant que nos attentes ne seront pas satisfaites, il n'y aura pas d'accord, a-t-il réitéré. Grossi avait annoncé vendredi 25 juin dans un communiqué que Téhéran n'avait toujours pas répondu à la demande de l'agence d'étendre encore un accord temporaire de supervision nucléaire.
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