Dans un message publié samedi sur son compte Twitter, Ali Bahadori Jahromi a déclaré que les États-Unis avaient clairement l'habitude de ne pas tenir leurs promesses et de violer les principes de la réglementation internationale et des droits de l'homme.
Les mesures prises par les États-Unis pour imposer de nouvelles sanctions à Téhéran et empêcher l'entrée du chanteur iranien Alireza Ghorbani sous des allégations sans fondement montrent l'hostilité de Washington envers le peuple iranien en toutes circonstances, a noté Jahromi.
Ghorbani se rendait en Californie pour se produire lors d'un concert dans la ville d'Irvine célébrant le Nouvel An persan, Norouz. Mais le 25 mars, des agents de la patrouille frontalière américaine à l'aéroport de Toronto au Canada l'ont interrogé et ont annulé son visa américain, l'empêchant de voyager.
Le chanteur traditionnel de 49 ans avait attribué l'interdiction d'entrée à son service militaire dans le Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI).
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