Le juge du tribunal suédois chargé d'examiner le dossier de Nouri avait promis que, conformément aux lois suédoises, bon nombre des restrictions qui avaient été imposées à ce citoyen iranien seraient levées ; Mais cela ne s'est pas produit. Au contraire, Hamid Nuri a dû faire face à davantage de pressions et de restrictions arbitraires contraires aux droits de l'homme.
Parmi les plus importantes de ces pressions, il convient de noter que M. Nouri a été placé à l'isolement pendant de longues périodes, ou empêché de contacter sa famille, et l'incapacité de lui fournir des services de santé et autres ; Ce n'est pas non plus un secret que ce citoyen iranien a été empêché d'obtenir le texte traduit (en farsi) du verdict de condamnation prononcé contre lui, et il n'est donc pas possible de faire appel de cette décision injuste.
Lors du bref appel téléphonique (10 minutes) que Nouri a passé avec sa femme hier lundi, il a confirmé qu'il était définitivement empêché de rencontrer l'avocat de la défense.
Ces pratiques interviennent alors qu'il ne reste que moins de deux semaines avant le délai imparti à la famille du citoyen iranien condamné en Suède pour faire appel de la décision du tribunal, rendue sur fond de prétendues et fausses accusations préparées par le groupe terroriste d'hypocrites hostiles à la République islamique d'Iran.
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