Gharibabadi a critiqué jeudi les normes contradictoires et doubles de certains pays européens et a déclaré "Vous ne pouvez pas arrêter et poursuivre des citoyens iraniens innocents, être un bon refuge pour des groupes terroristes, saisir l'argent de l'Iran et subordonner son transfert à l'émancipation des criminels et des condamnés en Iran, et accuser l'Iran de prise d'otages !".
L'Iran ne resterait pas les bras croisés face à la mesure illégale de la Suède dans le procès d'Hamid Nouri et à sa condamnation à perpétuité, ainsi qu'au soutien clair du pays aux groupes terroristes », a-t-il ajouté.
« l'Iran a plusieurs options à sa disposition», a assuré Gharibabadi.
Il s'est demandé comment la Suède pouvait prétendre agir dans le cadre des relations bilatérales et du respect mutuel, alors qu'elle s'est transformée en base pour accueillir, soutenir et diriger divers groupes terroristes et séparatistes contre l'Iran.
Certains pays européens sont également devenus un refuge pour les criminels en fuite qui se sont enfuis avec les biens du peuple et du gouvernement, et continuent de refuser de les renvoyer en Iran.
Gharibabadi a déclaré qu'il reste à voir si ces pays européens sont prêts à publier le nombre réel d'Iraniens emprisonnés dans leurs pays respectifs et celui de leurs citoyens détenus en Iran afin qu'il puisse être clarifié qui est le véritable preneur d'otages.
Hamid Nouri, un citoyen iranien arrêté à Stockholm en novembre 2019, pour de fausses accusations par l'organisation terroriste Mujahedin-e-Khalq (MKO), a été condamné jeudi à la réclusion à perpétuité par un tribunal suédois.
Votre commentaire