Selon l'IRNA, le site Internet de ce médias français a annoncé dimanche 15 janvier, que la Chine est l'un des plus gros importateurs de pétrole iranien avant d’évaluer cet acquis comme le résultat du partenariat économique entre Téhéran et Pékin, mis en place depuis l'année dernière.
Toujours dans ce rapport, se référant aux résultats d'évaluation de l'Institut Kpler, spécialisé dans le marché pétrolier, il est indiqué : Les exportations totales de pétrole brut de l'Iran ont atteint 1,23 million de barils par jour en novembre 2022. Cela signifie que Téhéran a presque atteint son niveau d'exportation de 2019.
Selon ce rapport, Pékin, qui ne cesse de condamner les sanctions américaines, était auparavant le premier partenaire économique et commercial de Téhéran et son premier client pétrolier. « Cependant, la baisse de la demande chinoise due à la politique zéro du Covid-19 et la concurrence du pétrole brut russe ont un temps menacé les expéditions iraniennes, mais le flux des pétroliers iraniens a repris », ajoute-t-il.
La Radio France Internationale a également prétendu que « pour éviter des problèmes avec Washington, le pétrole brut iranien s’importe officiellement depuis autres pays vers la Chine. »
« Selon les estimations, les importations chinoises d'or noir en provenance d'Iran ont battu un record en décembre avec 1,2 million de barils par jour, ce qui montre une augmentation de 130 % par rapport à l'année dernière », conclut le rapport.
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