Le secrétaire général du Bureau des droits de l'homme du pouvoir judiciaire iranien, Kazem Qaribabadi, a critiqué le dernier rapport oral et initial du soi-disant comité de vérité dénonçant : "Tout d'abord, la création d'une telle équipe par le Conseil des droits de l'homme alors que nous assistions à une émeute de grande ampleur et non à des rassemblements pacifiques, n'a aucune base technique, juridique et juridique."
« Le rapport préparé est une action politique et injustifiée qui souffre de graves ambiguïtés dans le processus de sa rédaction ; et comme d'autres rapports sur les droits de l'homme en Iran, il a fait référence à des informations et des faux provenant du cyberespace et de médias hostiles », a ajouté le responsable.
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