"Nous avons l’intention de continuer à travailler avec nos amis iraniens et de renforcer constamment la coopération mutuellement bénéfique dans tous les domaines, dans l’intérêt des peuples des deux pays. Les pressions extérieures et les sanctions ne constituent pas un obstacle à ce processus », a souligné la diplomate.
Selon Zakharova, les restrictions extérieures contribuent parfois à renforcer les contacts bilatéraux. Elle a notamment expliqué qu’il existe des situations où les sanctions agissent comme un " catalyseur pour accélérer certains processus ".
Le 4 février, Trump a signé un décret visant à renouveler la " pression maximale " sur Téhéran.
En réaction aux récentes déclarations du président américain, Donald Trump, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi a qualifié la politique de "pression maximale" d’échec avéré, précisant que les individus intelligents optent pour la "rationalité maximale" plutôt que pour une politique vouée à l’échec.
" Ce que l’on appelle la " pression maximale " est une expérience ratée. La répéter ne ferait que mener à une nouvelle « résistance maximale ». Les individus perspicaces optent plutôt pour la « rationalité maximale", a-t-il précisé mercredi sur X.
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