2 juin 2021, 16:26
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L’Iran donne plus de détails à l’OACI sur une enquête sur le crash d’un avion ukrainien

Téhéran (IRNA)- Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Mohsen Baharvand, a informé l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) des dernières enquêtes et développements dans l'affaire de l'avion ukrainien qui s'est écrasé près de Téhéran l'année dernière.

Baharvand, à travers une vidéoconférence avec des responsables de l'OACI mercredi, leur a présenté les dernières informations sur le cas du vol ukrainien PS752 qui s'était écrasé en janvier 2020.

Il a fait un rapport sur les mesures de l'Iran, y compris l'enquête technique, la poursuite de la dimension pénale et le versement d'indemnisations à la famille des victimes, ajoutant que certaines familles ont déjà reçu une indemnisation.

Le président du Conseil de l'OACI, Salvatore Sciacchitano, a, pour sa part, salué les efforts de l'Iran et réaffirmé la position de l'OACI et la nécessité d'éviter la politisation de l'incident.

Le secrétaire général de l'OACI, Fang Liu, a fait écho à l'accent mis par Sciacchitano sur la position du corps et a également salué les mesures de l'Iran.

Baharvand est arrivé à Kiev pour le troisième cycle de pourparlers sur le vol ukrainien PS752 qui s'était écrasé en janvier 2020.

Les délégations iranienne et ukrainienne devraient discuter des aspects techniques et juridiques de l'accident d'avion.

Un avion de ligne ukrainien Boeing 737 a été accidentellement abattu par une roquette iranienne près de Téhéran le 8 janvier 2020.

Cela s'est produit après l'attaque terroriste américaine contre le cortège de voitures du lieutenant-général Qassem Soleimani, défunt commandant antiterroriste des forces Qods du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) et de ses compagnons près de l'aéroport de Bagdad le 3 janvier 2020.

L'Iran a rendu l'opération terroriste américaine en frappant la base aérienne américaine d'Ain al-Assad en Irak.

Le commandant de la Force aérospatiale du CGRI, le général de brigade Amir Ali Hajizadeh, a admis que l'incident était une erreur humaine.

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