Selon le département de politique étrangère de l'IRNA, Hossein Amirabdollahian a écrit sur son compte Twitter : « La République islamique d'Iran poursuit son chemin avec force et logique sur la voie du développement économique durable et mène des efforts honorables pour annuler les sanctions. »
« Nous ne négligerons jamais les droits inaliénables de la grande nation iranienne. », a souligné le chef de la diplomatie iranienne.
Le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré : « Parvenir à un bon accord solide et stable est notre objectif. Sans aucun doute, la marionnette de la Maison Blanche et du sionisme dans la région nous rend plus déterminés. »
Selon l'IRNA, le président américain Joe Biden et le Premier ministre israélien par intérim Yair Lapid ont signé une déclaration commune concernant le statut du "partenariat stratégique", dont une partie comprend l'engagement officiel des États-Unis et de ce régime concernant la revendication imaginaire, anti-iranienne et permanente d’empêcher l'accès de Téhéran à une arme nucléaire.
Dans cette déclaration conjointe, publiée jeudi sur le site Internet de la Maison Blanche, il est indiqué que, conformément aux relations de sécurité de longue date entre les États-Unis et Israël et à l'engagement ferme de Washington en faveur de la sécurité de ce régime, et en particulier du maintien sa supériorité militaire, Washington s'engage à renforcer la capacité de Tel-Aviv à dissuader ses adversaires et à se défendre contre toute menace ou combinaison de menaces.
Cette déclaration anti-iranienne ajoute : « Les États-Unis soulignent que l'une des composantes de cet engagement est d'empêcher à jamais l'Iran d'obtenir des armes nucléaires, et les États-Unis sont prêts à utiliser tous les éléments de leur puissance nationale pour y parvenir. »
Dans une autre partie de cette déclaration anti-iranienne, Washington s’est engagée à coopérer avec des partenaires autres que le régime sioniste pour contrer, ce que les dirigeants d’américains et sionistes ont appelé les actions hostiles et les prétendues activités déstabilisatrices de l'Iran, soit directement, soit par l'intermédiaire de groupes et d'organisations tels que le Hezbollah, le Hamas et le Jihad Islamique.
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