Selon l'IRNA, Hossein Amir Abdollahian, dans une interview exclusive au Financial Times publiée ce mercredi 16 février, a déclaré que Washington n'avait pas répondu à la demande de l'Iran de fournir une garantie que les parties à l'accord ne se retireraient pas de l'accord.
Le Chef de l'appareil diplomatique iranien a déclaré que l'opinion publique iranienne ne pouvait pas accepter le verbiage d'un chef d'administration (dont le mandat s'expire après quelques années), comme une garantie en raison du retrait en 2018 des Américains du PGAC (JCPOA selon son acronyme anglais). Il a suggéré que le Congrès américain, exprime son engagement envers le PGAC, dans une déclaration officielle politique.
"Nous sommes confrontés à des problèmes en ce round des pourparlers car l'autre côté manque d'initiative sérieuse" a-t-il déploré.
Pour l'Iran la malhonnêteté des Etats-Unis avérée et leur désengagement à l'international est la menace la plus grave pour tout accord et la véritable levée de sanctions signifie que l'Iran pourra bénéficier d'avantages économiques crédibles et durables.
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