Selon le rapport de l'IRNA, Kazem Gharibabadi, s’exprimant mercredi 7 juillet, lors d’une réunion des experts et des fonctionnaires iraniens pour les droits de l’homme sous forme d'un webinaire, a déploré le fait que la question des droits humains s’est transformé en un outil pour les abus aux mains des pays occidentaux et des États-Unis.
« L'Iran croit aux droits de l'homme parce que le phénomène des droits de l'homme est un phénomène sacré enraciné dans les religions divines, en particulier l'islam », a-t-il insisté.
Il a ajouté : « Nous ne prétendons pas être parfaits dans le domaine des droits de l'homme, et aucun pays ne peut le prétendre, mais nous reconnaissons que tous nos efforts, tant dans le système judiciaire que dans d'autres institutions, visent à promouvoir et à protéger les droits de l'homme. »
Le Vice-président des affaires internationales du pouvoir judiciaire s’attardant sur le fait que ceux qui se posent en défenseur des droits humains ont commencé à parler de cet impératif après la Seconde guerre mondiale a poursuivi : « Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, plusieurs déclarations et pactes ont vu le jour pour définir les droits de l'homme universels. Après avoir tué des dizaines de millions de personnes innocentes, les pays occidentaux sont arrivés à la conclusion que les êtres humains ont des droits et se sont mis à documenter, instrumenter et créer diverses conventions et traités. »
Il a souligné: « Ce, alors que la religion de l'Islam a clarifié cette question il y a plus de 14 siècles…
Déclarant que l'Iran est victime de violations des droits de l'homme par les pays occidentaux et les États-Unis, le Secrétaire du siège des droits de l'homme a souligné les deux questions des sanctions et du terrorisme comme les domaines les plus importants de violation des droits qui ont tristement touché la nation iranienne.
Le projet des droits de l'homme contre l'Iran est un projet britannique
Il a qualifié le projet de mettre en cause l’Iran par les questions liées aux droits de l'homme de « projet britannique » et a déclaré : « En plus du fait que les rapporteurs spéciaux nommés pour l'Iran sont sous la protection de l'Angleterre et résident généralement dans ce pays et qu’ils bénéficient de divers types de soutien de la part de Londres, ce pays poursuit avec l’acharnement l'extension de la mission des rapporteurs spéciaux et de l'approbation des résolutions partiales et partielles contre l’Iran.
Déplorant que ces rapporteurs font systématiquement fi des réalisations précieuses de la République islamique d’Iran en faveur des droits de l’homme, cette autorité iranienne a conclu : « La politique des droits de l'homme de la RII est une politique à multiples facettes. Il s’agit d’une approche active basée sur les exigences, d’une interaction délibérée et rationnelle, de l'explication des réalisations et de la dissipation des ambiguïtés. »
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