Dans une interview accordée a l'IRNA, en réponse à la question de savoir si, en répétant le comportement de l'Agence internationale de l'énergie atomique, la République islamique a un plan pour éteindre d'autres caméras, Mohammad Eslami a déclaré : « Non, les caméras que nous avons collectées étaient basées sur le JCPOA, ou selon son terme juridique, au-delà de l’accord des garanties, ces caméras ont été installées avec l'accord de JCPOA afin de mesurer les limites, la capacité et les activités nucléaires de l'Iran. »
Quant à savoir si les caméras seront allumées et réactivées si nous parvenons à un accord dans le cadre de JCPOA, Eslami a précisé : « À condition qu'ils abandonnent toutes les allégations et accusations ; aujourd'hui, nous vous annonçons qu'aucune caméra ne sera installée jusqu'à ce qu'ils reviennent à leurs engagements et abandonnent ces allégations et accusations. »
Le vice-président a considéré les cas allégués comme une excuse qui a été poursuivie avec une pression maximale contre l'Iran pendant des années et a indiqué : « La position de l'Iran a toujours été que les accusations portées contre l'Iran devaient être abandonnées. »
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