Kanani, dans un message sur son compte Instagram vendredi, après que le département du Trésor américain a imposé des sanctions à sept responsables iraniens pour ce qu'il prétendait être la fermeture de l'accès à Internet et la répression des manifestants, a noté que « Chaque jour, une nouvelle liste de sanctions contre l'Iran est publiée sous un prétexte. Cette fois, le ministre de l'Intérieur, le ministre des Communications et cinq autres responsables iraniens ont été sanctionnés par le gouvernement américain».
«Bien sûr, avant cette liste de sept ministres et personnalités iraniennes, chaque individu iranien a été soumis des centaines de fois aux sanctions les plus sans précédent de l'histoire contre une nation par le régime américain», a-t-il ajouté.
«L'ensemble du peuple iranien, sans aucune distinction ni discrimination, lutte depuis de nombreuses années contre les sanctions brutales des États-Unis, qui ont ciblé leurs moyens de subsistance, leur emploi, leur santé et leur vie normale», a-t-il souligné.
Kanani a déclaré que l’Iran était depuis 2018 sous le coup de sanctions draconiennes de la part des États-Unis et de ses alliés européens après le retrait de Washington de l’accord sur le nucléaire iranien de 2015.
« Même les enfants EB n'étaient pas exemptés des sanctions américaines unilatérales, illégales et cruelles. Les sanctions sont l'épine dorsale des droits de l'homme américains », a-t-il noté, faisant référence aux enfants souffrant d'une affection cutanée rare connue sous le nom d'épidermolyse bulleuse (EB).
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