Le bloc a également inscrit le ministre iranien des Communications et des Technologies de l'information Issa Zarepour pour la fermeture d'Internet.
Les mesures coercitives comprennent des interdictions de voyager et des gels d'avoirs.
Des protestations contre la mort de l'Iranienne Mahsa Amini ont d'abord éclaté dans sa province natale du Kurdistan, puis dans plusieurs villes, dont la capitale Téhéran. Amini s'est évanoui dans un poste de police et a été déclaré mort quelques jours plus tard, le 16 septembre, dans un hôpital de Téhéran.
Cependant, certains éléments extrémistes ont fait dérailler les manifestations et ont incité à la violence contre les forces de sécurité. Les médias soutenus par l'Occident ont également encouragé la violence. L'Iran dit qu'il ne permettra pas l'ingérence dans ses propres affaires intérieures.
Un rapport d'enquête du Parlement iranien a conclu que la mort d'Amini n'était pas liée à des coups et blessures physiques.
Selon le rapport, la jeune femme n'a été ni agressée lors de son transfert au centre de police de la capitale Téhéran, où elle est tombée dans le coma, ni frappée lors de sa détention.
Votre commentaire