Amirabdollahian, en visite au Liban, a fait ces remarques vendredi lors d'une conférence de presse à Beyrouth. Il a évoqué l'élection prochaine du prochain président libanais et a déclaré que toute décision à cet égard devait être prise par les dirigeants libanais.
Le ministre des Affaires étrangères a déclaré que lors d'une réunion avec les dirigeants palestiniens, on lui avait dit que la résistance était dans sa situation la plus forte, la meilleure et la mieux préparée, et qu'en cas d'assassinat d'un dirigeant palestinien, les équations seraient rapidement changées en bénéfice de la résistance et perte des sionistes.
Ce sont Bagdad et Damas qui détermineront la manière dont les camions et les personnes se déplacent le long des frontières communes de la Syrie et de l'Irak, a déclaré Amirabdollahian, soulignant que personne ne pourra bloquer les routes de liaison historiques entre les pays de cette région.
Il s'est également félicité du rétablissement des relations diplomatiques entre Damas et Riyad.
« La République islamique d’Iran n’est jamais intervenue dans les développements internes du Liban. Mais aussi longtemps que le Liban le voudra, nous continuerons à apporter notre ferme soutien au gouvernement, à la nation, à l’armée et à la résistance au Liban.
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