L'unité attaquée mardi 5 septembre fait partie du 12e régiment d'infanterie commando, dont le camp se situe à Ouahigouya, dans la province du Yatenga. C'est à une vingtaine de kilomètres au nord de leur base, dans la localité de Koumbri précisément, que les soldats ont été attaqués. Ils ont été pris entre des « tirs de harcèlement » et « d'intenses combats » racontent les autorités burkinabè. En plus des 53 morts, il y a eu une trentaine de blessés dans les rangs de l'armée. Ils ont été évacués et pris en charge.
Selon l’IRNA, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, tout en exprimant ses profondes condoléances et sa sympathie au gouvernement et à la nation du Burkina Faso, en particulier aux familles des victimes, a exprimé l'espoir qu'avec une lutte sérieuse et efficace contre les sinistres fléaux du terrorisme et de l’extrémisme, on assisterait à la paix et à la stabilité dans différentes régions du monde, dont en Afrique de l’Ouest
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