Les pertes agricoles dans le nord d’Israël s’ajoutent à la crise à laquelle le pays est confronté dans les fermes des colonies proches de la bande de Gaza.
Les analystes estiment que la crise des aliments frais et des légumes pourrait s'aggraver à mesure que progresse l'opération militaire contre Gaza.
On s’attend à ce que les marchés de l’État occupant connaissent une augmentation des prix des denrées alimentaires et des principales matières premières. Face à la perturbation de la production agricole et industrielle, sur fond de situation sécuritaire dégradée et de rappel de 360 000 réservistes.
Selon un reportage du bulletin "Globes" publié hier mercredi à Tel-Aviv, plus de deux semaines se sont écoulées depuis le début de la guerre contre Gaza, et l'agriculture dans le nord d'Israël est soumise à de graves dommages après les graves dommages causés aux fermes et l'agriculture dans la zone frontalière de Gaza.
De nombreux champs, vergers et cultures ont été fermés sur ordre de l'armée d'occupation, dans un contexte de détérioration de la situation sécuritaire et de risques croissants, et l'entrée y reste interdite jusqu'à hier.
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