Hier aussi 13 février, plusieurs rencontres bilatérales ont eu lieu entre Bagheri et Mora, ainsi qu’entre les chefs de délégations négociatrices iranienne, russe et chinoise.
Les pourparlers de Vienne ont atteint un point difficile et compliqué. La guerre des volontés a commencé. Le huitième cycle de pourparlers, qui a débuté à Vienne fin décembre, s’est transformé en un des plus longs cycles de négociations, les participants sont en train de finaliser un projet de texte d'accord et de décider certaines questions litigieuses en suspens.
Alors que l'Occident a toujours utilisé la carte médiatique comme l'un des éléments influençant le processus de négociation, au cours des deux derniers mois, une série de mesures offensives et défensives iraniennes ont considérablement réduit cette influence contreproductive.
Selon le correspondant d'IRNA à Vienne lundi, c'est dès les premiers jours de la reprise des pourparlers à Vienne que les partis occidentaux centrés sur les États-Unis ont lancé une vaste campagne de propagande contre l'Iran affirmant que les pourparlers avaient été inutilement interrompus par un changement du gouvernement en Iran.
Dès les premiers jours de la reprise des pourparlers à Vienne, l’axe américano-occidental a lancé une vaste campagne de propagande contre l'Iran, avançant cette fausse idée que les pourparlers avaient été inutilement interrompus par un changement de gouvernement en Iran.
Cependant, la résistance de la délégation de la République islamique d'Iran qui reste campée sur ses positions rationnelles et logiques a contraint les autres parties à accepter les faits des négociations, ce qui a automatiquement réduit l’influence contreproductive des médias mainstream.
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