Dans une lettre adressée au président périodique du Conseil de sécurité et au secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, Iravani a rejeté les affirmations non fondées et les références inappropriées contre la République islamique d'Iran dans la lettre datée du 8 avril 2024, adressée par le représentant du régime israélien aux Nations Unies au Secrétaire général et au Président du Conseil de sécurité (S/2024).
L’action entreprise par la République islamique d'Iran le 13 avril 2024 l'a été dans l'exercice de son droit naturel à la légitime défense, tel qu'il est énoncé à l'Article 51 de la Charte des Nations Unies, et en réponse aux agressions militaires récurrentes d'Israël, en particulier à son attaque armée du 1er avril 2024 contre les locaux diplomatiques iraniens, au mépris de l'Article 2 (4) de la Charte des Nations Unies, a expliqué Iravani.
La République islamique d'Iran n'a jamais déclenché de guerre contre le régime israélien et n'a pas l'intention de le faire à l'avenir ; toutefois, elle se réserve le droit inhérent au droit international de répondre à tout recours à la force ou à tout acte d'agression contre sa souveraineté, son intégrité territoriale, sa sécurité et ses intérêts nationaux, a affirmé Amir Saeed Iravani.
Le diplomate iranien a enfin demander de faire circuler la lettre en tant que document du Conseil de sécurité.
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