Selon le service de presse du ministère iranien des Affaires étrangères, Seyed Abbas Mousavi, en réponse aux questions des journalistes, tout en rejetant les informations publiées par certains médias, qui citant une source inconnue avait avancé une prétendu « levée temporaire » des sanctions dites « non ciblées » (des sanctions qui visent des secteurs de l'économie d'un ou de plusieurs États), imposées par le Président américain, Donald Trump contre l'Iran, après son retrait du PGAC, a qualifié de « fakenews » ces allégations dont les objectifs sont intéressés.
« Il n’est pas exclu que l’échec des politiques de sanctions américaines fasse l'objet d'une controverse entre l'Europe et les Etats-Unis », a indiqué le diplomate avant de rappeler que pour la République islamique d’Iran, les sanctions unilatérales américaines restent « illégales et oppressives. »
Le porte-parole de la diplomatie a poursuivi : « Conformément à l’accord nucléaire endossé par la résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations unies, il revient aux États-Unis de lever toutes les sanctions qu'ils ont réimposées à l’Iran en se retirant du PGAC. »
Citant une source qui a requis l’anonymat, certains médias ont rapporté ce mardi 11 août l’éventualité d’une levée « temporaire » des sanctions « non ciblées» américaines contre l'Iran et cela à l’initiative de Berlin et de Londres, et ont prétendu que Washington serait en train d’examiner la proposition et y répondrait dans 10 jours.
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