Au cours des deux dernières décennies, le nombre de sanctions américaines contre des gouvernements, des entreprises et des responsables d'autres pays a décuplé.
L'ancien président américain, Donald Trump a imposé le plus de sanctions aux autres pays. Donald Trump, avec le retrait unilatéral et illégal de l'accord sur le nucléaire iranien (JCPOA) le 8 mai 2018, a rétabli ses sanctions secondaires contre l'Iran en deux temps.
Les Nations Unies ont suspendu le droit de vote de l'Iran pour la deuxième fois cette année en raison du non-paiement des cotisations, contre lequel la République islamique se bat en raison des sanctions américaines illégales sur les transferts de devises.
Le ministère iranien des Affaires étrangères dénonce fermement la suspension du droit de vote de l’Iran aux Nations unies, soulignant que les sanctions cruelles des États-Unis ont provoqué la situation.
Selon l'Article 19 de la Charte des Nations Unies, un pays membre perd son droit de vote à l'Assemblée générale de l'ONU si le montant de ses arriérés atteint la contribution due par lui pour les deux années complètes écoulées. Toutefois, l'Assemblée peut autoriser ce membre à participer au vote si elle constate que ce manquement de paiement est dû à des circonstances indépendantes de la volonté dudit membre.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères déplorant la suspension du droit de vote de la République islamique d'Iran (RII) aux Nations Unies a déclaré: “ Malheureusement, pour la deuxième année consécutive et en raison des sanctions américaines oppressives et illégales, notre pays a des difficultés pour le paiement des cotisations à l’ONU liés aux frais d’adhésion à l’Organisation internationale. »
L'administration Trump a mis en œuvre une politique de pression maximale et imposé des sanctions cruelles, illégales et inhumaines contre le peuple iranien, mais cette pression maximale a finalement échoué et la République islamique d'Iran n'a pas cédé à ces pressions avec autorité.
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