Selon le rapport de l’IRNA le vendredi premier avril, le Vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Ryabkov, a déclaré dans une interview à RT à propos des pourparlers de Vienne : « Notre seul intérêt est de protéger nos interactions légitimes avec l'Iran en termes de mise en œuvre du Plan global d’action conjoint sur le nucléaire iranien de 2015 (PGAC, JCPOA selon son acronyme anglais) après sa réactivation
« Le reste dépend des autres », a déclaré Ryabkov. « Il faudra quelques jours ou peut-être quelques semaines pour que tout se mette en place. La Russie n'a ménagé aucun effort pour garantir un résultat positif en s'engageant pleinement avec l'Iran, les États-Unis et les coordinateurs de l'UE », a-t-il fait valoir.
La plupart des pays participant aux pourparlers souhaitent que les négociations soient conclues plus rapidement, mais la conclusion d'un accord final attend les décisions politiques américaines sur quelques questions clés restantes.
Le huitième cycle de pourparlers sur la levée des sanctions, qui a débuté le 27 décembre 2021 de l'année dernière, est entré dans une phase époustouflante le 11 mars 2021, à la suggestion du chef de la politique étrangère de l'UE, et les négociateurs sont retournés dans leurs capitales respectives pour des consultations politiques.
La République islamique d'Iran affirme que si la partie américaine agit de manière « réaliste », il est possible de parvenir à un accord à Vienne. L'accord aspiré par l’Iran réclame la levée autant que possible des sanctions et se veut bénéfique pour la région.
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