Le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir Abdollahian lors d'une conversation téléphonique avec son homologue koweïtien, le cheikh Ahmed Nasser Al-Sabah, jeudi, a discuté des relations bilatérales, de la question palestinienne, des développements régionaux. Amirabdollahian a également félicité l'arrivée de l'Aïd Fitr.
Le ministre iranien a souligné l'importance de tenir la récente commission consulaire conjointe et la réunion conjointe des garde-côtes des deux pays et a exprimé l'espoir qu'une haute commission conjointe des deux pays se tiendrait dans un proche avenir.
Se référant à la profanation de la mosquée Al-Aqsa et du Saint Qods par le régime sioniste d'Israël et à l'arrivée du jour de Qods, le ministre iranien des Affaires étrangères a souligné la nécessité de l'unité du monde islamique contre les crimes commis par le régime et la nécessité de défendre le caractère sacré de la mosquée Al-Aqsa.
Le chef de la diplomatie iranienne a salué les positions adoptées par le gouvernement et le peuple koweïtiens en condamnant les actions du régime d'occupation à Qods et en soutenant le peuple palestinien.
En ce qui concerne le Yémen, Amir-Abdollahian s'est félicité du maintien du cessez-le-feu dans le pays et a exprimé l'espoir que le blocus du Yémen se terminerait dès que possible et que des pourparlers intra-yéménites auraient lieu.
Le ministre koweïtien des Affaires étrangères, Cheikh Ahmed Nasser Al-Sabah, a pour sa part félicité l'arrivée de l'Aïd al-Fitr et a souligné les relations amicales et de voisinage de longue date entre les deux pays et les deux peuples. Il a souligné l'importance de développer davantage les relations dans divers domaines politiques, économiques et culturels.
Le ministre koweïtien des Affaires étrangères a remercié la République islamique pour sa position constructive en aidant à établir un cessez-le-feu au Yémen et a exprimé l'espoir d'un cessez-le-feu permanent au Yémen.
Le ministre koweitien a réaffirmé que Qods était une ligne rouge pour le monde islamique et que les pays islamiques devaient renforcer et unifier leurs positions pour faire face aux crimes du régime d'occupation.
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