Le 26 août, au cours d’une réunion avec les journalistes, et en marge de sa visite au cimetière de Saint-Eugène à Alger, le président Macron a déclaré: « La France est très vigilante pour que l’équilibre d’un accord sérieux soit préservé. Ses derniers jours, on avait des discussions importantes avec le président Joe Biden, le premier ministre Boris Johnson et le chancelier Olaf Schultz, pour avancer. »
Insistant sur la nature non-politique et technique des activités de l’AIEA, Macron a également souligné le plein soutien de la France à l'Agence internationale de l'énergie atomique dans la mise en œuvre impartiale et indépendante de sa mission.
Lors de la rencontre, Macron et Grossi ont évoqué les efforts diplomatiques de la France et de ses partenaires pour trouver une solution par des négociations qui permettraient aux États-Unis et à l'Iran de mettre pleinement en œuvre le Plan d'action global conjoint (JCPOA) en agonie, y compris la vérification et le suivi par le l'AIEA des activités nucléaires ».
« C’est un accord outil, s’il est conclu dans le terme présenté. Mais il ne sera pas un accord qui réglera tout. », a conclu le président français.
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