Selon l'IRNA, Nasser Kanani réagissant au drame a écrit sur Twitter mercredi soir 26 octobre après l'attaque terroriste visant les fidèles dans le sanctuaire de Shahcheragh : « L'Iran victime d’un attentat sanglant ».
Un terroriste armé a ouvert le feu, mercredi, dans un lieu de culte chiite du sud du pays, pendant la prière du soir, dans le mausolée de Shahcheragh, faisant au moins quinze morts et des dizaines de blessés.
L’agresseur, un homme takfiri, a ouvert aveuglément le feu sur les fidèles, dans le sanctuaire qui abrite la tombe du très vénéré frère de l’Imam Reza (béni soit-il) l’une des figures les plus vénérées des musulmans iraniens dont la tombe se trouve dans la ville sainte de Machhad au nord-est.
Le président Ebrahim Raïssi a pointé du doigt dans un communiqué les ennemis de l’Iran qui cherchent à diviser les rangs unis de la nation iranienne et cela par inciter à la violence et à la terreur, et a promis « une réponse sévère ».
Le nombre de morts de l'attaque terroriste de mercredi soir dans le sanctuaire sacré de Shahcheragh est de 15 personnes et le nombre de blessés atteint 27, selon l’adjoint politique du gouvernorat de la province méridionale du Fars.
Selon l’agence Reuters, le groupe terroriste de Daech a revendiqué l’attaque.
Cette attaque terroriste s'est produite dans l’une des heures les plus fréquentées du sanctuaire de Shahcheragh.
Face à ce bain de sang perpétré par un homme terroriste takfiri, le silence de mort des prétendus défenseurs des droits de l’homme et des pays occidentaux qui se posent en défenseur des droits de l’homme, ainsi que leurs médias mainstream à la solde, est significatif.
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