« Nous nous félicitons qu'après plusieurs années de résolution des problèmes en suspens des particules d'uranium non déclarées entre l'AIEA et l'Iran, un premier progrès, partiel mais très concret, ait été réalisé. Cela démontre l'intention des parties de s'engager de manière constructive. Le Conseil des gouverneurs de l'AIEA a achevé son examen de l'accord de garanties TNP avec l'Iran», a noté le représentant permanent de la Russie auprès des organisations internationales à Vienne.
L'une des principales lignes de partage au cours du débat était la question de savoir si le verre était à moitié plein ou à moitié vide. La réponse dépendait des sentiments subjectifs des orateurs », a-t-il ajouté dans un tweet ultérieur mercredi.
Après que l'Union européenne a publié mardi une déclaration au Conseil des gouverneurs de l'AIEA sur la vérification et la surveillance en Iran à la lumière de la résolution 2231 (2015) du Conseil de sécurité des Nations unies, un diplomate russe a répondu en tweetant qu’"Il est difficile de les prendre au sérieux car les États-Unis et l'UE peuvent aider à résoudre ces problèmes rapidement s'ils reviennent à #ViennaTalks pour finaliser l'accord JVAP."
Dans leur déclaration, les États de l'UE ont accusé l'Iran de ne pas avoir achevé les négociations pour renouveler le JCPOA en août dernier.
Et ce malgré le fait que c'est le gouvernement américain qui n'a pas réagi au projet de texte préparé par les puissances européennes pour conclure les négociations de l'année dernière sur le renouvellement du JCPOA, après avoir été témoin de l'indifférence des pays européens face aux violations continues de l'accord depuis sa sortie en mai 2018.
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