Depuis l'opération militaire menée par Israël, le 7 octobre, contre la Bande de Gaza, « la plus grande prison ciel ouvert » du monde n’en finit pas de sombrer. Depuis deux décennies, Tel-Aviv soumet le territoire palestinien dirigé par le mouvement de la Résistance palestinienne, Hamas, (depuis qu’il a remporté les élections législatives de 2006), à un blocus militaire dévastateur désormais « total ».
Israël a coupé l’approvisionnement en eau, en nourriture, en médicaments, en électricité et en carburant pour les 2,3 millions d'habitants de Gaza, qui souffraient déjà de conditions de vie extrêmement détériorées.
La persistance des crimes de l'occupation israélienne contre les femmes, les filles et les enfants constitue un crime de guerre condamné par toutes les conventions internationales et humanitaires.
Dans ce contexte de crise aiguë, Israël a empêché l’acheminement de l’aide humanitaire iranienne pour Gaza.
Arnaud Develay, juriste international et expert au Centre d'études géopolitiques, partage son point de vue avec l'IRNA.
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