Les crimes des sociétés militaires privées occidentales ne sont pas rares au Moyen-Orient et en Afrique. Depuis quelques années, les médias occidentaux se sont focalisés plutôt sur une structure sécuritaire russe.
Le président français Emmanuel Macron, au même titre que ses homologues occidentaux, ne rate aucune aubaine pour s’attaquer à l’entreprise russe Wagner, la qualifiant d’organisation terroriste et l’accusant d’exactions en Ukraine ou au Mali, en RCA et au Burkina Faso.
Mais la France et les autres pays européens, eux-mêmes, ils ont créé une structure militaire au cœur du continent vert en vue de réprimer les nations européennes.
EuroGendFor (FGE) est une armée secrète privée européenne dont la fonction est de servir les objectifs de la Commission européenne. Cette armée secrète ou unité d’intervention spéciale est composée de 3000 hommes. Police politique, judiciaire, armée et pourvue de services secrets, ses missions se réalisent en étroite coopération avec les armées européennes afin de garantir les intérêts des politiciens occidentaux.
En d’autres termes, faire cesser toute révolte populaire au sein des Etats membres de l’UE qui adhèrent à EuroGendFor. Cette troupe paramilitaire a été fondée sans aucune légitimité démocratique, en toute opacité, et chaque Etat peut faire appel à la FGE pour mater quelque crise que ce soit.
Les compétences de cette unité sont pratiquement illimitées. Elle doit, en coopération étroite avec les militaires européens, garantir la « sécurité en territoires de crise européens ».
De plus en plus d’Etats membres de l’UE adhèrent à EuroGendFor dans le seul but de ne pas devoir utiliser leurs propres armées contre les citoyens du pays.
Ce corps de police a été créé à l’initiative de l’ancienne ministre de la Défense française, Michèle Alliot-Marie, pour réprimer à l’avenir plus facilement les manifestations qui dégénèrent toujours à nouveau dans les villes françaises.
Les médias français essayent, depuis quelques semaines, de réduire le rôle de cette structure militaire en prétendant que cette société n’est pas directement liée à l’Union européenne et juste fondée par certains membres de l’UE.
Les rumeurs sur la coopération de cette structure avec les forces de l’ordre se sont multipliées en France et dans le monde francophone après les photos publiées sur les réseaux sociaux qui montrent clairement la présence des éléments de Eurogendfor aux côtés des soldats français. L’intervention des éléments de cette structure de répression semble désormais évidente, surtout après l’augmentation des manifestations anti-Macronie en France suite à la promulgation de la Reforme de retraites par le président français. Tenant compte de la radicalisation des gestes policiers contre les protestations populaires en France, ce qui est déjà monté dans la répression du mouvement des gilets jaunes, l’Elysée aura de plus en plus recours aux solutions brutales et anti-démocratiques comme EuroGendFor.
Source : Algérie 54
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