M.Macron avait déclaré vendredi 10 novembre dans une interview télévisée accordée à BBC à l’Élysée que « rien ne justifiait les bombardements » et qu’un cessez-le-feu profiterait à Israël.
« Même si nous reconnaissons le droit d’Israël à se défendre, nous exhortons Israël à arrêter ces bombardements à Gaza », a-t-il-ajouté.
Toutefois, selon le bureau de Herzog, le Locataire de l’Elysée a indiqué qu’« il n’accusait pas et n’avait pas non plus l’intention d’accuser Israël de nuire intentionnellement à des civils innocents de Gaza » dans le cadre sa guerre contre le mouvement de la Résistance palestinienne, Hamas.
Réaction de Jean-Maxime Corneille, juriste en droit européen et analyste en intelligence économique. Pour lui à travers ses réactions aux évolutions israélo-palestiniennes, on voit bien à quel point le président Macron représente une diplomatie française qui n’est pas souveraine mais qui est au contraire dans la main d’Israël.
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