Expliquant l'ambiance intérieure des pourparlers à Vienne, Bagheri a ajouté: « L'ambiance l'intérieure des pourparlers est très sérieuse, mais tout en se respectant et en considérant que les parties veulent parvenir à un accord, à partir du début des négociations au 29 novembre, cette atmosphère sérieuse domine la salle de pourparlers. »
Lors d’une interview accordée à la radiotélévision iranienne, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères a ajouté : « Chaque partie devrait défendre ses propres positions et apporter ses propres arguments et poursuivre les intérêts de sa propre partie. Bien sûr, cela ne signifie pas un alignement à 100 % des positions des deux côtés, mais que l'approche n’est pas d'une manière qui perturbe le processus. »
Bagheri en outre et en réponse à la question selon laquelle certains médias et responsables présents aux pourparlers de Vienne déclarent que l'Iran a des revendications maximales dans ces négociations et cherche à perdre du temps, a déclaré : « Par quels critères les positions maximales ou minimales sont-elles mesurées ? Nos positions sont basées sur un accord qui a été finalisé en 2015 entre l'Iran et le P5 + 1, et nos points, considérations et demandes sont basés sur cet accord. »
« Cet accord est accepté pour les deux parties et l'un des principaux enjeux des pourparlers actuels est de fournir les conditions aux États-Unis, qui se sont retirés de l'accord, à rejoindre le JCPOA. Et les conditions que les Américains doivent remplir pour pouvoir réintégrer cet accord doivent être déterminées, remplies et conclues. », a conclu le vice-ministre iranien des Affaires étrangères et négociateur en chef de l’Iran
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