Selon l'IRNA, Ebrahim Raissi a rencontré dimanche 20 février le vice-Premier ministre et ministre de l'Investissement et du Commerce extérieur ouzbek, Sardar Omar Zakov, pour discuter du potentiel d'une coopération étendue entre les deux pays dans divers domaines économiques, notamment l'agriculture, l'industrie, les transports et l'énergie.
Evoquant le tourisme, il a déclaré : « Aujourd'hui, la volonté politique des deux présidents repose sur le développement global et l'approfondissement des relations, et nous sommes déterminés à faire de grands pas vers la prospérité et le développement des deux pays en activant toutes les capacités. »
« Les potentiels et installations communes des deux pays peuvent aller dans le sens d’assurer les intérêts des deux nations et celles de la région», a fait valoir le Président Raïssi.
Se référant aux affinités historiques et culturelles profondément enracinées entre l'Iran et l'Ouzbékistan, l'ayatollah Raissi a également souligné l'importance de renforcer les relations et les interactions culturelles entre les deux nations et a considéré que là il s’agit d’un bon terrain pour développer la coopération Téhéran-Tachkent dans d'autres domaines.
« Tachkent a élaboré une feuille de route pour développer les relations bilatérales immédiatement après la rencontre des deux Présidents iranien et ouzbek au Turkménistan », a déclaré le vice-Premier ministre et ministre de l'Investissement et du Commerce extérieur ouzbek.
« Avec l'accent mis par le Président de l'Ouzbékistan, une délégation de haut niveau composée de haut responsables économiques et d'activistes du secteur privé m’a accompagné lors de ce voyage pour examiner et finaliser les moyens de mettre en œuvre la feuille de route pour le développement global des relations bilatérales », a-t-il précisé.
Notant que le volume des échanges entre les deux pays a été multiplié par 2,5 par rapport à l'année dernière, le vice-Premier ministre de l'Ouzbékistan a déclaré que Tachkent était déterminé à développer avec Téhéran les relations commerciales et économiques, les investissements, les transports et le transit, et les relations culturelles autant que possible.
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