Kanaani a critiqué l'approche interventionniste du gouvernement américain envers les pays indépendants et a déclaré que le rapport n'a aucune légitimité pour juger ou évaluer les questions de droits de l'homme dans les relations internationales.
Le porte-parole a souligné la noblesse et l'importance des droits de l'homme dans la Constitution, les lois et les règlements iraniens, et a souligné que les États-Unis n'avaient aucune autorité pour parler des valeurs des droits de l'homme dans d'autres pays.
Il a déclaré qu'il n'y a aucune attente du régime impérialiste américain pour exprimer les faits et les réalités de la République islamique d'Iran.
Il a souligné les nombreuses violations des droits de l'homme par le gouvernement américain, tant au niveau national qu'international, y compris l'utilisation de la violence par la police contre des individus, la discrimination structurelle et ciblée contre les Afro-Américains, la répression des manifestants, les mauvais traitements infligés aux réfugiés et à leurs enfants, les conditions carcérales inhumaines, en particulier dans les États du Sud, et le traitement esclavagiste des prisonniers.
Kanaani a également accusé les États-Unis de prétendre hypocritement défendre les droits de l'homme tout en violant systématiquement les droits du peuple iranien par des sanctions injustes, illégales et unilatérales.
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