Selon les médias israéliens, le groupe de hackers appelé Anonymous Sudan a revendiqué la nouvelle attaque contre des sites Internet israéliens, dont ceux des ports de Haïfa et de Jaffa, lundi.
Les médias israéliens ont déclaré que la technique utilisée était apparemment le déni de service distribué (DDoS), au cours duquel les sites Web sont ciblés en submergeant leurs serveurs avec trop de demandes de connexion.
Plus tard lundi, l'agence de presse palestinienne Shehab, citant des médias en hébreu, a rapporté que le groupe de piratage Anonymous Sudan a également revendiqué la responsabilité d'une cyberattaque DDoS sur le site Web du parlement israélien (Knesset).
Cela s'est produit après que les médias israéliens ont rapporté dimanche qu'une attaque avait visé la station Radio 103FM du régime et le site Web de Check Point Software Technologies Ltd. - un fournisseur multinational américano-israélien de logiciels et de produits matériels et logiciels combinés pour la cybersécurité.
La cyberattaque est survenue un jour après les sites Web d'Israel Aerospace Industries (IAI), Israel Weapon Industries (IWI) - un fabricant d'armes à feu israélien, Rafael Advanced Defense Systems Ltd. et Evigilo Ltd., qui développe et fournit des notifications de masse d'urgence et des alertes multi -channel solutions, ont été piratés.
La cyberattaque a été revendiquée par Anonymous Sudan. Le groupe de hackers, qui a mené plusieurs cyberattaques contre divers sites Internet israéliens au cours des dernières semaines, a annoncé le 27 avril qu'il était à l'origine des récentes coupures de courant dans plusieurs villes des territoires occupés.
«L'attaque électrique était juste pour le plaisir. Nous vous en montrerons plus », a déclaré le groupe dans un post sur sa chaîne Telegram, ajoutant : « Israël, nous jouons toujours avec vous … bientôt vous serez sans Internet. Nous nous efforçons de faire tomber Internet en Israël comme l'électricité. Les coupures de courant ont provoqué des embouteillages à Tel-Aviv tout en affectant également la Knesset (parlement) et les ministères du régime».
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