Les sanctions annoncées jeudi visaient deux hauts responsables de l'organisation du renseignement du CGRI ainsi que trois personnes basées en Iran et en Turquie et une société turque qui, selon le Trésor américain, étaient toutes liées au CGRI.
Les sanctions ont été présentées comme une réponse à l'implication du CGRI dans des opérations meurtrières extérieures contre des civils, y compris des journalistes.
Le CGRI, qui fait partie intégrante de l'armée iranienne, a été entièrement mis sur liste noire par les États-Unis.
Cependant, Washington a annoncé de temps en temps des sanctions contre les membres de la force militaire pour augmenter la pression sur la force.
L'Iran a rejeté les allégations contre le CGRI comme des tentatives futiles de saper la montée et l'importance de la force en Iran et dans la région.
Les sanctions américaines annoncées jeudi visaient le chef de l'organisation du renseignement du CGRI, Reza Seraj, ainsi que Rouhallah Bazghandi, l'ancien chef du département de contre-espionnage de l'organisation.
La compagnie aérienne basée en Turquie, Rey Havacilik Ithalat Ihracat Sanayi Ve, a également fait l'objet de sanctions en raison de ce que le Trésor a qualifié d'assistance de la société aux opérations secrètes de la Force Al-Qods du CGRI.
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