La porte-parole adjoint de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré aux journalistes jeudi soir 17 février que les pourparlers avec l'Iran sur un retour mutuel à la pleine mise en œuvre du plan global d’action conjoint sur le nucléaire iranien (PGAC, JCPOA selon son acronyme anglais) avaient atteint un « point urgent ».
« Un accord est à la portée pour répondre aux préoccupations de toutes les parties », a déclaré la porte-parole adjointe de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre.
Conformément à la politique américaine consistant à avancer de faux délais pour les pourparlers de Vienne afin de faire pression sur l'Iran à la table des négociations, elle a prétendu que « si nous ne parvenions pas à un accord dans les prochaines semaines, les progrès nucléaires de l'Iran rendraient impossible son retour au JCPOA. »
Critiquant l'administration de Donald Trump pour son retrait du JCPOA, elle, comme d'autres responsables américains acharnée dans leurs politique iranophobe a ajouté que l'Iran avait accéléré son programme nucléaire depuis que la précédente administration américaine avait mis fin à son adhésion au Pacte.
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