Pour prendre une décision sur le retour au JCPOA, l'administration Biden, d'une part, se retrouve mêlée à des conflits internes avant les élections de mi-mandat au Congrès en novembre, et d'autre part, est sous l'influence et la pression du régime sioniste, qui tente de perturber le processus de négociation à Vienne, ainsi que les négociations indirectes entre l'Iran et les États-Unis.
Samedi, le média Axios, citant des responsables israéliens et américains, a rapporté que l'administration Biden avait assuré à Tel Aviv ces derniers jours qu'elle ne ferait plus de concessions dans les pourparlers du JCPOA.
"L'accord est peut-être plus proche qu'il y a deux semaines, mais il y a encore des incertitudes quant à l'issue des négociations et il y a des lacunes. Cependant, un accord ne semble pas inévitable", a rapporté le portail américano-sioniste, citant une source américaine.
La semaine dernière, des responsables de la Maison Blanche ont assuré à leurs homologues israéliens qu'aucune nouvelle concession n'avait été faite, malgré les déclarations de presse, ont indiqué des sources américaines.
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