Kanani a noté vendredi sur Twitter que les sanctions intervenaient alors que les «médias terroristes» anti-iraniens étaient libres de fomenter le chaos en Iran par le biais de leur campagne de propagande.
«Permettre aux réseaux terroristes et aux médias de faire des bêtises contre la nation iranienne et sanctionner l'IRIB et Press TV pour empêcher que les opinions de l'Iran ne soient transmises au monde est la continuation de la violation flagrante par l'administration américaine des droits de la nation iranienne», a écrit Kanani.
«Il n'y a pas de fin aux crimes de l'Amérique contre les nations et les gouvernements indépendants», a-t-il ajouté.
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