Selon l'IRNA du ministère iranien du Pétrole, le PDG de la Société nationale iranienne du pétrole a déclaré : « Concernant le volume total des réserves de pétrole brut et de gaz naturel, nous occupons la première place mondiale, et cette puissance économique est l'une des composantes de la puissance du pays. »
La production pétrolière iranienne a rebondi aux niveaux atteints avant que les États-Unis ne renoncent à un accord sur le programme nucléaire du pays et ne réimposent des sanctions sévères en 2018, selon le ministre du pétrole du pays.
« Les réserves extractibles de pétrole brut iranien basées sur le facteur de récupération, environ 157 milliards de barils et nos réserves de gaz sont d'environ 33 billions de mètres cubes, mais en termes de pétrole et de gaz, il s'agit d'environ 330 000 milliards d'équivalents de mètres cubes » a-t-il ajouté.
Le ministre iranien du Pétrole a annoncé le record des revenus et des exportations pétrolières les plus élevés dans les conditions dures des sanctions.
Le ministre du Pétrole a annoncé, le 23 mars sur sa page Twitter que son pays avait enregistré le record le plus élevé de revenus et d'exportations pétrolières pendant les sanctions.
Le ministre du Pétrole a poursuivi : « La fourniture de ressources en devises et en rial (monnaie iranienne) par le ministère du Pétrole a été réalisée au-delà des engagements budgétaires.
Le Président de la RII, Ebrahim Raïssi, avait précédemment annoncé une augmentation de 40% des exportations de pétrole.
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